Calendrier: 22 avril 2024

Carmela Piccininno

Carmela Piccininno

Dialogue avec le papier : « A fleur de peau ».

Dans un va et viens de l’eau et de la pulpe, le papier prend forme avec toute sa fragilité et sa douceur.

Jeu de métamorphose, de transparence et de lumière.

Bénédicte Rossi

Bénédicte Rossi

« Fragilité des souvenirs, Illusions mnésiques & Confabulations »

Travail de techniques mixtes textiles autour de pellicules photos vierges.

« Dialogues à travers » les souvenirs, grâce au support de la pellicule photo des anciens appareils à l’argentique.  Echanges de pensées, d’expériences, de réminiscences qui s’installent de manière intuitive, inconsciente autour du passé.

A travers ce médium, je veux parler des récits de la mémoire avec une réflexion sur les souvenances qui diffèrent d’une personne à l’autre pour diverses raisons.

En effet, le narratif peut traverser différentes rives, différents mondes parallèles où tout ne serait que subjectif…

C’est une réflexion sur les interactions dévastatrices, les échanges ravageurs qui effacent les souvenirs pour raconter une fiction…  Tout est transformé, détruit pour une story plus belle, plus racontable.  C’est une réflexion sur la perversion de la réalité pour construire un imaginaire qui deviendra la réalité.

En contraste à cette monstruosité, J’ai travaillé ces pellicules pour en faire de petits « bijoux ».  De surcroit, celles-ci sont vierges pour raconter les histoires effacées par les sourires imprimés sur la photo pour un narratif plus « regardable ».

C’est un travail autour du questionnement sur  «  où s’en vont les souvenirs ? » et « Suis-je mes souvenirs ? »

Et, si tel est le cas, qui suis-je si mes souvenirs sont effacés de ma mémoire, si mes souvenirs ont été gommé afin d’en insérer d’autres ?

Atelier d’échanges artistiques

ATELIER D'ECHANGES ARTISTIQUES

ATELIER D’ECHANGES ARTISTIQUES :

Notre but est d’échanger nos expériences des diverses technique pour mieux exprimer notre ressenti.
Venez découvrir l’artiste qui dort en chacun d’entre nous.

 

Anne Herrezeel

Anne Herrezeel

Anne, étant enfant à énormément baigné dans le monde artistique (via le milieu familial, les cours de théâtre, de piano, de solfège et la création de spectacles avec les copains) mais au fond d’elle-même a toujours eu envie de faire les beaux-arts… Elle grandit, se découvre d’autres passions mais de côté ces envies artistiques jusqu’à un matin d’avril 2016 où malgré elle, elle doit s’exprimer par les arts plastiques (peinture, pastel, … ), une intime intuition la pousse à exprimer enfin toute sa créativité, son imagination et à expulser sa souffrance. Elle part à la rencontre d’autres artistes qui l’encourage, l’inspire et la fait évoluer.
En février 2017, elle participe à la création d’une fresque sur l’identité de la femme au festival des identités féminines au Placet à Louvain-la-Neuve. Ensuite, elle aide un ami artiste peintre dans l’organisation de son exposition et continue de faire évoluer son art : peinture, pastel, photographie et écriture.
En décembre 2018, elle expose à Bruxelles en compagnie d’un ami artiste peintre, Jan Goris pour la toute première fois entre pastel et peinture, elle dévoile une part d’elle-même, un peu de douceur et de couleur dans ce monde de brut. Un véritable défi. Quelques semaines après l’exposition, elle a besoin de se ressourcer, de s’évader et part en Islande afin de faire évoluer son art en sortant de la société et de ses influences.
Au contact de la nature et des différentes âmes qu’elle rencontre, elle gagne en liberté et en espace dans son art durant les six mois de ce voyage en pleine nature loin du monde et de ses douleurs. A son retour, elle est appelé à d’autres obligations et passions un peu partout en Belgique ! Malgré tout, elle continue à créer, jour et nuit en plus petite dimension avec ses pastels tout en couleur en rajoutant des textes portant des convictions et des combats sociétaux.
En 2022, elle participe à un atelier sur la place des femmes dans l’Art et se lance dans une oeuvre d’une Vénus de Milo, intemporelle et interculturelle. Quelques jours plus tard, elle expose avec d’autres artistes féminines au Centre Placet à Louvain-la-Neuve…

Ann Geirnaerdt

Ann Geirnaerdt

Mes sculptures racontent leur propre histoire. Inspirées d’une expérience personnelle, je veux leur donner la place qu’elles méritent. Au travers de chaque expérience, ces œuvres démontrent une reconnaissance vulnérable.

A l’image de l’homme qui cherche, qui a besoin de connexion, de sécurité, mais qui veut garder en même temps sa propre force. Tout comme l’homme qui aspire à une certaine harmonie et à atteindre la plénitude de sa vie; parfois vulnérable, parfois forte, toujours à la recherche de son nid douillet, qu’il préfère également partager avec d’autres.

La particularité de mes œuvres est l’inspiration que m’apportent les matières naturelles comme de l’écorce, des branches, des légumineuses, par leur forme, leur mouvement et leur structure. Ces matières laissent une empreinte dont je m’imprègne avec gratitude et que je façonne.